Boreal Admin
Messages : 189 Date d'inscription : 05/06/2010 Age : 53 Localisation : non !
| Sujet: francis bacon Ven 2 Mar - 14:57 | |
| FRANCIS BACON[/size] un precurseur des moeurs et de l'art[size=200]« Je crois que l'homme aujourd'hui comprend qu'il est un accident, que son existence est futile et qu'il doit jouer un jeu insensé. »
[size=150] OU L'art de saisir l'ephemere du mouvement dans un espace donne[/size] [size=200] LUCIAN FREUD[/size] [img] [size=150] ÇA C'EST DE L'AUTO PORTRAIT GÉNIAL OU JE VEUX BIEN ME PENDRE......[/size] petit récapitulatif sur francis bacon : Bacon passe plusieurs années à Berlin, puis à Paris, où il mène une vie de bohème, exerçant différents métiers. De retour à Londres, il s'installe comme décorateur et peint ses premières toiles sous la forte influence du surréalisme et de Picasso, dont il a pu admirer les dernières œuvres lors de son séjour à Paris en 1927. Les dessins de Picasso de cette époque, visibles dans ses carnets, montrent la façon dont Bacon s'est inspiré de Picasso, et les similitudes avec le travail de celui-ci. Bacon est largement un artiste autodidacte. Parmi ses influences, on reconnaît non seulement Picasso mais aussi Vélasquez , Poussin ou encore Rembrandt. Au cours d'un entretien, il affirma que son influence du surréalisme ne provenait pas de la peinture mais des films de Luis Buñuel. Il traita plus tard ses premiers travaux avec dédain et détruisit la majeure partie de ses œuvres antérieures en 1944. 1945 marque son entrée officielle dans le monde de la peinture avec Trois études de figures au pied d'une crucifixion. Le tableau, d'une rare violence expressive, choque au lendemain de la Seconde Guerre mondiale où l'on préfère oublier les images d'horreur que celle-ci a engendrées. Ces corps ramassés à l'extrême, tordus et écrabouillés, musculeux, disloqués, ravagés, ces distorsions crispées, ces contractures paroxystiques, ces poses quasi acrobatiques, sont d'abord signes de fulgurances nerveuses et d'un emportement furieux, presque athlétique, plus somatiques que psychologiques de la mystérieuse animalité d'anthropoïde solitaire et désolée qui est en chaque homme. À partir des années 1960, Bacon est rattaché, avec Lucian Freud, Frank Auerbach, Kossof, Andrews... à ce que l'on appelle l'« École de Londres ». Au cours de sa carrière, Bacon affina son style, délaissant les images de violence crue de ses débuts pour préférer « peindre le cri plutôt que l'horreur », prônant que la violence doit résider dans la peinture elle-même, et non dans la scène qu'elle montre. [size=150] allégorie de la mort de lucian son amour ........[/size] « Je suis sûr que chaque artiste se situe quelque part, travaille à partir d'un certain patrimoine et se trouve placé sur une certaine trajectoire. De même d'ailleurs qu'il s'ingénie à enfoncer avec obstination le même clou, mais cela est une autre histoire. »[size=200] HOMAGE A LUCIAN FREUD L AMANT DE FRANCIS BACON MORT D OVERDOSE[/size] | |
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